UNIL - Université de Lausanne




12 Avr 2017

Le paradoxe européen : pourquoi la mobilité scientifique n’a pas accru les collaborations internationales

  • Réseaux académiques

Une nouvelle étude suggère que la facilitation de la migration scientifique peut, paradoxalement, réduire les collaborations internationales. Quand des chercheurs·euses réputés d’Europe de l’Est ont commencé à rejoindre les plus influentes institutions d’Europe occidentale, leurs collègues et étudiant·e·s de l’Est ont fini par être moins bien intégrés dans les réseaux scientifiques internationaux.

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