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2 Oct 2025
29 Août 2025
Le Service d’ information du Conseil suisse de la science CSS localise, analyse et traite l’information pertinente sur les thèmes du domaine FRI en Suisse et à l’étranger. Il a mis ensemble une liste des objets parlementaires concernant le domaine «FRI» qui seront traités dans le semestre d’automne 2025.
28 Août 2025
Dans le contexte actuel de crises environnementales multiples, les biologistes Gilles Boeuf et Marc-André Selosse plaident pour de nouvelles interactions entre scientifiques, politiques et citoyen·nes. Ils invitent les scientifiques à mieux se former dans la communication de leurs découvertes, et le public à être plus réceptif envers le vivant et mieux entendre les sciences. «Les sciences n’ont pas vocation à gouverner la société, mais celle-ci ne saurait être menée sans science. Demain, une vulgarisation repensée doit rencontrer une génération plus réceptive.»
28 Août 2025
Lundi dernier, Donald Trump a annoncé son intention d’accueillir 600’000 étudiant·es chinois·es aux Etats-Unis. Mercredi, la Chine a donc invité les Etats-Unis à concrétiser cette promesse, demandant de faciliter l’entrée des ses étudiant·es. Guo Jiakun, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a appelé Washington à «mettre fin aux interrogatoires, harcèlements et expulsions sans fondement dont [les étudiant·es chinois·es] font l’objet, et à garantir dans les faits leurs droits et intérêts légitimes». Depuis l’arrivée, il y a sept mois, du secrétaire d’Etat Marco Rubio, le département d’Etat américain a indiqué avoir révoqué 6’000 visas étudiants, toutes nationalités confondues. (Blick)
A travers un commentaire publié dans la NZZ, la journaliste Katrin Büchenbacher explique que le choix d’accueillir à nouveau des étudiant·es chinois·es est dans l’intérêt des Etats-Unis. En effet, le but serait «d’attirer les meilleurs talents du monde pour défendre leur position dans la compétition mondiale», ainsi que d’obtenir un soutien financier de ces étudiant·es étranger·ères (les étudiant·es chinois·es ont rapporté aux États-Unis environ 14 milliards de dollars l’an dernier). La journaliste note que 600’000 étudiant·es chinois·es serait le double du nombre actuellement inscrit·es dans les universités américaines (2023-24).
Toutefois, le risque d’espionnage et de vol des connaissances persiste, vis-à-vis d’étudiant·es issu·es de Chine, mais aussi d’Afghanistan, d’Inde, d’Iran, etc. Alors que l’EPFZ a trouvé une solution «intermédiaire» avec un examen de sécurité des étudiant·es, chercheur·euses et des employé·es, les États-Unis voudront eux aussi contrôler les étudiant·es chinois·es à l’avenir, selon Donald Trump.
Le journal de Hong Kong «South China Morning Post» rapporte presque tous les jours que des chercheur·euses chinois·es quittent des institutions américaines comme Harvard pour aller dans une université chinoise à cause du climat hostile qui y règne. (NZZ)
27 Août 2025
Le 31 mai 2024, environ 70 étudiant·es ont participé à une manifestation pro-palestinienne dans le hall principal de l’EPFZ. Suite à cette action, la direction de l’EPFZ a porté plainte, ce qui a conduit à l’émission de 36 ordonnances pénales pour violation de domicile et participation à une manifestation non autorisée. Quatre étudiant·es ont contesté ces sanctions et ont comparu le 26 août 2025 devant le tribunal de district de Zurich.
Selon la NZZ, les quatre accusé·es ont refusé de témoigner devant le tribunal. Il a été déclaré à la place que l’EPFZ n’avait pas le droit de coopérer avec les universités israéliennes tant qu’un génocide est en cours. Ils et elles ont également expliqué pourquoi il s’agissait d’un génocide, et précisé que les connaissances de l’EPFZ dans le domaine du machine learning ont été transmises directement aux zones de guerre par l’intermédiaire des universités israéliennes. Toujours selon les informations rapportées par la NZZ, «les derniers mots des quatre accusés durent environ une heure. Ils critiquent entre autres «l’ETH dans le cadre d’un tournant autoritaire mondial», la dépendance de l’ETH vis-à-vis des dons privés, la prétendue restriction des droits politiques de la société civile également en Suisse, la limitation de sa liberté d’expression, le comportement de communication du président de l’EPF ainsi que l’intervention prétendument disproportionnée contre la grève».
Leurs avocats ont dénoncé un dispositif policier excessif pour le procès et défendent le caractère pacifique de la manifestation (20 Minuten). Ils invoquent la liberté d’expression et le contexte humanitaire à Gaza pour justifier la légitimité de la protestation. Le verdict est attendu pour fin octobre 2025.
26 Août 2025
L’université de Bâle organise mercredi un événement en hommage à Friedrich Nietzsche à l’occasion du 125e anniversaire de sa mort. Nietzsche avait enseigné la philosophie dans cette université. Deux étudiant·es estiment que lors d’un tel événement, les organisateurs devraient également mentionner son côté misogyne. «Le silence est la pire chose que l’on puisse faire.»
Hubert Thüring, professeur en littérature allemande contemporaine, estime qu’un tel hommage n’est pas problématique, car il faut considérer ces propos comme un phénomène propre à cette époque. «Quel penseur du XIXe siècle n’a pas tenu des propos qui nous font aujourd’hui simplement secouer la tête ?»
25 Août 2025
Orla Feely, présidente de l’University College Dublin et de l’association universitaire CESAER, donne son point de vue sur les perturbateurs actuels qui menacent les universités et défend également les bénéfices sociétaux du modèle universitaire moderne à forte intensité de recherche.
Orla Feely, qui a nommé ces perturbateurs sur le signe de la lettre D («D is for disruption»), précise que ces éléments ne sont pas tous vécus par toutes les universités, mais que celles-ci en vivent au moins toutes une combinaison.
«Demographics»: la chute du taux de natalité actuel signifie un bouleversement démographique dans l’enseignement supérieur. La génération actuelle d’étudiant·es travaille souvent à temps partiel à coté des études, fait des longs trajets et des problèmes de santé mentale sont une réalité pour beaucoup d’entre eux (et elles). Nées avec le numérique et les réseaux, ces personnes auraient une vision et des attentes en matière d’enseignement et d’apprentissage très différentes des générations précédentes.
«Deglobalisation»: la mobilité des personnes et des idées, dont dépend la santé des universités, est actuellement souvent remise en question, avec un éloignement croissant de l’«open innovation, open science», au profit d’un accent mis sur la compétitivité industrielle. Le financement croissant dans la «Defence» a également des implications pour le financement et la nature des recherches.
«Digitalisation»: les technologies numériques de l’intelligence artificielle ont un profond impact sur l’enseignement, la recherche et l’innovation. Mais aussi sur le monde du travail et les sociétés de manière plus générale, pour lesquels les universités ont «un rôle très important à jouer dans notre réponse collective».
«Deficits»: de nombreuses universités rencontrent actuellement des problèmes financiers, qui menacent leur indépendance. Les pressions financières sur les gouvernements ainsi que sur les potentiel·les étudiant·es sont également des éléments-clés.
«Distrust»: la confiance envers les expert·es et les universités diminue au sein de la société. Les universités sont souvent accusées d’éloignement ou même de divergence par rapport aux communautés qu’elles servent.
«Division»: des questions de divisions et de colère se sont manifestées sur les campus. Les activités et valeurs des universités sont devenues le centre de débats sociétaux très polarisés. «L’équilibre entre l’engagement institutionnel en faveur d’un échange ouvert de points de vue et la dignité et le respect est souvent précaire.»
«Pour y remédier avec succès, il faut tout d’abord comprendre ce qui pourrait être perdu. Il faut ensuite s’engager à trouver des solutions, être capable de changer et savoir motiver, communiquer et susciter un large soutien en faveur des nombreuses façons dont l’enseignement supérieur et la recherche engagés peuvent transformer le monde.»
25 Août 2025
La cour suprême américaine a autorisé, à 5 voix contre 4, la mise en œuvre de coupes budgétaires de 800 millions de dollars dans le financement des National Institutes of Health (NIH). Des recours judiciaires se poursuivent néanmoins devant des tribunaux inférieurs. En juin dernier, un juge fédéral du Massachusetts avait bloqué temporairement ces coupes. Depuis l’entrée en fonction de Donald Trump en janvier, plus de 10 milliards de dollars consacrés à la recherche et aux contrats du NIH ont été supprimés.
21 Août 2025
«Amnesty International accuse les autorités américaines d’enfreindre les droits humains en utilisant des outils d’intelligence artificielle (IA) pour surveiller les migrants et les manifestants étrangers pro-palestiniens. […] L’association pointe notamment les outils informatiques dopés à l’IA des entreprises Babel Street et Palantir, spécialisées dans l’analyse de données à grande échelle et en temps réel, qui ont de nombreux contrats avec le gouvernement américain, notamment dans les secteurs de la défense et du renseignement.»
En découle un climat de peur paralysant les migrant·es, mais aussi les étudiant·es internationaux sur les campus universitaires américains, relate Erika Guevara-Rosas, directrice générale de la recherche à Amnesty International. L’ONG note encore que ces technologies utilisées afin de tirer des conclusions sur les intentions des personnes «présentent d’importantes marges d’erreur et s’avèrent souvent discriminatoires et biaisées».
20 Août 2025
Ces dernières années, le Fonds national suisse (FNS) a fait l’objet de nombreuses critiques («trop woke, trop à gauche, trop sciences naturelles»). Cependant, il n’avait peu connu de pressions financières jusqu’à aujourd’hui. En début d’année, le Conseil fédéral a déclaré vouloir économiser 412 millions de francs suisses au FNS entre 2027 et 2029, soit environ 11% du budget annuel. En 2027 et 2028, l’entité devra ainsi probablement «rejeter au moins 500 excellents projets». Les coupes concerneront principalement le soutien aux projets ainsi que la promotion des carrières des jeunes chercheurs et chercheuses.
Alors qu’il y a dix ans le FNS pouvait approuver environ 50% des demandes, aujourd’hui ce chiffre est d’environ 35%. Et ce taux diminuera avec les coupes prévues par le Conseil fédéral. Annalena Müller, journaliste auteure de l’article, estime que même avec ces coupes le FNS serait encore en bonne position au regard, par exemple, de la Deutsche Forschungsgemeinschaft qui a un taux de 29,5 % d’acceptation.
La journaliste relève également plusieurs critiques structurelles adressées au FNS: un manque de transparence sur les critères d’excellence scientifique. «Ce système fait régulièrement l’objet de critiques, car il gonfle les effectifs du corps intermédiaire universitaire et éloigne les jeunes adultes hautement qualifiés du marché du travail libre, sans qu’il y ait pour autant de postes à long terme ou de besoin durable pour ces spécialistes universitaires.»
Enfin, la journaliste relève des critiques contre les projets individuels, «dont la valeur informative et l’utilité économique ne sont pas toujours évidentes».
20 Août 2025
Dans les colonnes du Courrier, le sociologue Vincent Kaufmann, du Laboratoire de sociologie urbaine de l’EPFL, relève l’attitude critique entretenue par nombre d’acteurs économiques et politiques à l’égard de la science depuis quelques années, aux Etats-Unis comme en Suisse. Selon lui, il est important de ne pas se laisser intimider par ces tentatives de déstabilisation, rappelant que «si la position des scientifiques est souvent combattue, c’est bien parce que le savoir scientifique est un pouvoir en tant que tel. Ce pouvoir qui dérange, c’est celui de l’administration de la preuve indépendante des rapports de force en présence. Un pouvoir associé à une responsabilité d’intégrité.» Il conclut: «Le meilleur rempart face aux attaques de la science, c’est la garantie d’une recherche pleinement indépendante.»
19 Août 2025
«swissuniversities salue la révision proposée de l’ordonnance sur les brevets (OBI), qui renforcera la sécurité juridique, la transparence et la simplicité des démarches. Elle met en avant deux avancées majeures : une harmonisation internationale accrue, avec l’acceptation des documents en anglais et une réduction des charges administratives, ainsi qu’une numérisation renforcée des procédures, favorisant un traitement plus rapide, des échanges électroniques facilités et une gestion moderne des données. Des améliorations restent toutefois nécessaires sur certains points de cette révision. »
19 Août 2025
18 Août 2025
Lors de l’examen d’une motion de Petra Gössi demandant au Conseil fédéral de créer les bases légales encadrant l’utilisation des systèmes d’intelligence artificielle (notamment en lien avec la protection de la propriété intellectuelle), la Commission de la science, de l’éducation et de la culture du Conseil national (CSEC-N) a exprimé sa volonté d’approfondir ce dossier.
Elle souhaite notamment mieux comprendre les répercussions potentielles sur la recherche en IA en Suisse. «Afin d’évaluer plus précisément les bénéfices et les conséquences de l’adoption de cette motion, la CSEC procédera à des analyses approfondies et à des auditions d’experts lors de sa prochaine séance.» L’objet sera examiné par le Conseil national au cours de la prochaine session d’automne.
La motion, critiquée par plus de 80 professeur·es, a donc été mis «en pause», selon un professeur spécialisé en IA.
15 Août 2025
«Les médecins étrangers qui souhaitent travailler dans un hôpital suisse doivent attendre plusieurs mois avant que leurs diplômes ne soient reconnus, alertent les hôpitaux, qui déplorent une situation « intenable ». En cause: l’augmentation du nombre de demandes et des absences au sein du service compétent.»
14 Août 2025
Torsten Schwede, président du Conseil de la recherche du FNS, nomme les trois défis principaux pour la paysage de recherche et de l’innovation : la collaboration internationale lors des tensions géopolitiques, la conception de la transformation numérique et de l’IA de manière responsable, et le rôle de la science comme boussole dans un monde complexe.
Il souligne l’importance d’un dialogue continu entre tous les acteurs du domaine FRI et les représentants politiques et sociaux, autant pour protéger la liberté et l’intégrité de la recherche que pour promouvoir la confiance dans la recherche et souligner son importance.
14 Août 2025
Plus de 80 professeur·es de l’EPFL et de l’EPFZ ont signé une lettre dénonçant un projet de loi risquant de fortement limiter, voire anéantir, la recherche et le développement de l’intelligence artificielle (IA) en Suisse. La motion rédigée par la conseillère aux Etats Petra Gössin (PLR, SZ) est soutenue par l’association Médias Suisses. Elle demande que le Conseil fédéral crée «les conditions nécessaires pour que les contenus journalistiques et les autres œuvres et prestations relevant du droit d’auteur jouissent d’une protection complète lorsqu’ils sont utilisés par des fournisseurs d’IA». La politicienne est particulièrement sensible à la protection des médias.
Mais selon les signataires de l’appel, «la motion rendrait impossibles la recherche et le développement dans le domaine de l’IA en Suisse, en particulier l’entraînement de grands modèles de langage. L’utilisation privée et commerciale de l’IA en Suisse serait également fortement menacée, car les modèles d’IA largement utilisés dans le monde (comme ChatGPT) ne sont pas entraînés conformément aux exigences de la motion.» Par ailleurs, le professeur Martin Jaggi, du Centre IA de l’EPFL explique: «La motion a un objectif noble, mais elle adopte une approche totalement irréaliste et partiale, qui n’est pas compatible avec le reste du monde. La motion serait encore plus stricte que la réglementation européenne, pourtant généralement très stricte». Il ajoute que la charge ajoutée par cette nouvelle loi serait trop grande, et que les géants américains de l’IA risquaient de cesser de proposer leurs modèles en Suisse, ou d’en retirer simplement le contenu suisse de leurs données d’entraînement.
Selon la norme internationale, aujourd’hui, il revient aux éditeur·ices de sites web elles et eux- ou elles-mêmes de signaler s’ils ou elles ne désirent pas que leur contenu soit utilisé par des IA, par exemple, en mettant un petit fichier robots.txt sur le portail des sites. Bien que cette méthode ne soit pas optimale, elle est universelle et facile à mettre en œuvre, selon Martin Jaggi.
A l’opposé, Daniel Hammer, secrétaire général de Médias Suisses, affirme que «les fichiers robots.txt ne sont pas respectés par les géants de l’IA», les fichiers étant contournés. Il souligne qu’une solution globale est donc actuellement indispensable.
La motion a reçu un préavis positif de la part du Conseil fédéral avant d’avoir été approuvée par le Conseil des États. La Commission de la science, de l’éducation et de la culture du Conseil national l’étudiera à la fin de cette semaine.
14 Août 2025
Dans les colonnes de La Liberté, l’enseignante-chercheuse de l’Université de Fribourg Stéphanie Roulin s’oppose aux diminutions budgétaires subies par l’Université de Fribourg (soit 30 millions de francs d’ici à 2028), dues aux coupes budgétaires fédérales ainsi qu’au programme d’assainissement des finances de l’État (PAFE). Selon elle, l’offre de cours en serait réduite, et il s’agirait de «payer plus pour moins d’encadrement». Une augmentation des taxes d’études créerait de la précarité chez les étudiant·es, tandis que de nouveaux financements privés menaceraient l’indépendance de la recherche. Elle conclut ainsi son courrier: «La formation, tout comme la santé, ne peut être gérée selon les lois du marché. […] l’Université fait partie du bien commun. Il faut dire non à l’affaiblissement du service public.»
13 Août 2025
Giorgio Behr, président du conseil d’administration de Behr Bircher Cellpack (BBC), groupe qu’il a dirigé jusqu’en 2015, est également un ancien membre de plusieurs conseils d’administration industriels et professeur émérite d’économie d’entreprise à l’Université de Saint-Gall. Interrogé sur les accords bilatéraux avec l’Union européenne, il affirme que l’économie peut se passer des nouveaux traités européens.
«[…] Il existe […] de nombreux domaines dans lesquels l’UE pourrait nous causer des problèmes. De plus, nous avons dû faire des concessions lors des négociations sur les hautes écoles. Nous serons confrontés à un problème de qualité si nous réduisons les frais d’inscription des étudiants étrangers au niveau de ceux des étudiants suisses. Nos universités, qui offrent un enseignement de grande qualité, deviendraient encore plus attrayantes pour les étudiants de l’UE. Cette augmentation du nombre d’étudiants entraînerait également des coûts supplémentaires élevés pour les cantons. Les partisans des accords avec l’UE se réjouissent de la réadmission gracieuse à Horizon Europe. Mais comment peut-on rêver d’une «ligue des champions de la recherche», comme le font les partisans des accords avec l’UE, alors que les deux EPF, qui sont les meilleures équipes, n’en font pas partie?»
Par ailleurs, il affirme : « En Suisse, nous devons réapprendre à mieux valoriser certaines professions au lieu de miser toujours plus sur les diplômés universitaires. Nous devrions former les personnes dont la société a besoin, comme les infirmiers, les policiers, les serveurs et les ouvriers industriels.» (Neue Zürcher Zeitung)
12 Août 2025
Selon les auteurs de l’article, Xavier Comtesse et Philippe Labouchère, alors que l’Arc lémanique brillait au tout début des années 2000, il serait «passé à côté de son histoire» deux décennies plus tard au profit de la métropole zurichoise. «Zurich a pris le dessus dans quatre directions significatives: transport, école polytechnique, start-up et IA», écrivent les auteurs.
Voici quelques-unes des erreurs commises par l’Arc lémanique ces 20 dernières années selon les auteurs: